Nous avons appris avec douleur et tristesse la mort de Christine Kalanquin.
Christine, que nous surnommions affectueusement Krika, fut l’une des fondatrices de L’Ours Blanc.
Elle en fut aussi la maquettiste, et une cheville ouvrière de notre association.
Sculptrice, le premier premier prix de poésie fut consacré par l’une de ses œuvres.
Que dire qui ne soit trop ou pas assez ?
Nous garderons le souvenir de son rire clair et de sa quête désespérée…
Bernard Giusti
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